25 juillet 2011
24 juillet 2011
23 juillet 2011
Jazzette de jour et de nuit
Entrez en fanfare avec Gloups!
22 juillet 2011
21 juillet 2011
20 juillet 2011
Deux Michels qui nous manquent
19 juillet 2011
On the Radio
Robert! Décidément t'es le meilleur!!!
TSF - Tout Souillac en Festival
http://www.tsfjazz.com/accueil.php
18 juillet 2011
Ibrahim Maalouf ou J-4
"Fils de talentueux musiciens, bercé par la musique et la littérature, nourri au biberon musical, Ibrahim Maalouf suit les traces de Nassim Maalouf – son trompettiste de père, inventeur de la trompette micro-tonale, celle-là même qui peut jouer des quarts de ton. Il y a de quoi pâlir devant le curriculum vitae d'un lauréat de plusieurs concours internationaux de trompette classique, issu du conservatoire supérieur de Paris et qui sort son deuxième album : Diachronisme, qu'il présentait cette semaine à la salle Nougaro."
Suite aqui y solamente por aqui.
La Lanterne Sourde inaugure Le Jazz dans la Vallée
Semaine de la presse
17 juillet 2011
Jazz sur le vif
La Jazzette #87
C'est reparti pour une nouvelle session de Jazzettes !
Voici celle du jour en pdf, la numéro 87, avec des infos sur la mini-tournée "Jazz dans la Vallée"
13 juillet 2011
Jazz à tous les étages
12 juillet 2011
Jazznet # 14
11 juillet 2011
Julio Antonio Mella l’appelait « Tinissima »
Tinissima, c’est le nom du quartet de Francesco Bearzatti présent à Souillac pour rendre hommage à Malcolm X, le leader de la cause noire américaine, mais …
Tinissima, c’était Tina Modotti, « une femme dont les aventures, les joies, les douleurs et les passions méritent d’être rêvées, racontées et transmises » comme le souligne le saxophoniste italien dans les notes de son CD « Suite for Tina Modotti » enregistré en 2008 en hommage à sa compatriote la photographe révolutionnaire.
« Tina Modotti », c’est aujourd’hui un livre signé Angel de la Calle, un portrait de femme d’exception mais surtout un immense manège qui tourne de l’Italie au Mexique, de Berlin à Moscou, de Paris en Espagne. Entrent tour à tour dans ce tourbillon de sa vie : Diega Rivera, Vladimir Maïakowski, John Dos Passos, Pablo Neruda, Frida Kahlo, … des hommes, des femmes, des amants comme le photographe Edward Weston ou Julio Antonio Mella communiste cubain.
Cette BD est un tableau des années 20 et 30 qui nous propulse d’un Mexique post-révolutionnaire à une Espagne républicaine.
Cet ouvrage est un bijou de 250 pages en dessins et textes noir et blanc, comme un clin d’œil à ses seulement 250 photographies, où transparaissent des extraits de « Guernica » de Pablo Picasso comme de « Espagne, écarte de moi ce calice » de César Vallejo.
Ce livre est à mettre entre toutes les mains, c’est un manuel d’histoire - même si Paco Ignacio Taibo II s’en défend dans son prologue – vue au travers de celle d’une photographe qui a raconté la dure vie des victimes du stalinisme mais aussi qui a participé à la vie culturelle et politique de l’entre-deux-guerres dans le monde.
Tina Modotti prit son dernier repas avec quelques amis pour fêter le nouvel an 42, soudain le froid l’envahit, on lui appela un taxi, lorsque le taxi s’arrêta, elle était morte, serrant dans ses mains la photo de Julio Antonio Mella disparu 10 ans plus tôt. « L’Excelsior » titra « La mort de Tina Modotti ressemble aux assassinats entre communistes ».
Merci Francesco Bearzatti de m’avoir fait découvrir cette Belle Dame.
Merci aux éditeurs " Vertige graphic" et « Librairie Envie de lire » d’Ivry sur Seine qui porte bien son nom.
« Tina Modotti », à lire, à faire lire.
Robert Peyrillou
Libellés : tina modotti